Attentats : ce n’est pas à "notre amour des libertés" que les djihadistes s’en prennent
Édité par Sébastien Billard
Le Carillon, le Bataclan, le Petit Cambodge... Vendredi 13 novembre, les djihadistes ont pris pour cible des cafés, des restaurants et une salle de concert emblématiques des quartiers dit branchés de Paris, tuant 129 personnes. Ont-ils voulu s’en prendre ainsi à "notre amour des libertés" ? Cette explication est trop simpliste, selon François Burgat, directeur de recherche au CNRS.